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Photographe amateur, et n'ayant aucune prétention, j'essaye d'allier mes activités sportives avec celui de la photographie. Je sais qu'il y a beaucoup de progrès à faire et c'est la raison pour laquelle j'expose humblement mes réalisations sur ce site.


En 1974, mon père me met en main mon premier appareil photo un Canon F1 argentique. Depuis lors, cette passion ne m'a jamais quitté.


Début 2022, mon choix s'est porté vers un hybride plein format LEICA Q2 (48 m). Compagnon de mon quotidien, cet appareil, minimaliste, , léger, me suit dans mes activités sportives ou de tourisme. Son mode Macro, ainsi que ces différents focales réglables électroniques me permettent de capter les sujets en 28, 35, 50 et 75 mm. 


Juillet 23, un pas en plus, achat d'un second caillou, un LEICA Sl2 hybride (48 m) avec trois objectifs. Cet appareil vient en complément du LEICA Q2. Il m'ouvre de nouvelles perspectives et remplace mon  NIKON D800 Reflex (36 m)


Mai 24, échange du SL2 vers le SL3. Quelques changements, mais surtout un peu plus léger et ergonomique. On verra à l'usage.


Pour vous faire aussi une idée de choix d'un appareil photo numérique, vous propose un article paru en 2023 sur les différences entre l'hybride et le réflex. Cela vous permet de mieux comprendre les avantages et inconvénients de chaque type d'appareil photo.


Article https://lartdelaphoto.fr/appareil-photo-hybride-ou-reflex-que-choisir/


Mes objectifs.   


Mon premier objectif est un APO SUMMICRON-SL 1:2/50 mm car il est léger, facile à utiliser.


Mon second objectif est un objectif passe-partout soit un VARIO-ELMARIT 1:2.8/28-70 ASPH.


Mon troisième objectif est un Sigma L 105 macro Art très utile pour mes photos de fleurs. Je lui ai adjoint un doubleur de focale de marque Sigma.


post traitement.


Il est bon de rappeler que la prise de vue doit être faite en RAW (brut). En effet, si on veut un post traitement le plus efficace possible, le fait de faire la prise de vue en RAW optimisera ce post traitement.  (voir explication ci-dessous)


Lightroom CC, la solution que j'ai adopté.


Il est la suite logique de la prise de vue.

En effet, pendant l'ère argentique et avant l'avènement du numérique cela n'existait pas. Tout ce faisait en chambre noire.

Maintenant, il permet de dépasser ce que la prise de vue n'a pas su mettre en avant. 

Il pallie aux défauts de la prise de vue (exemple: une sous-exposition) ou de l'appareil photo (exemple: des taches sur le capteur).

Ensuite, la créativité est vue sous un autre angle et chacun peut ainsi y trouver son compte.

Les puristes diront qu'il y a tricherie.

Pour moi, cela n'a pas de sens.

Chacun doit pouvoir exprimer sa façon de voir la photo et ainsi exprimer son expression artistique d'une autre manière.


Mais le mieux avant de se lancer est de faire une formation.


Il existe de multiples formations sur internet. j'ai favorisé deux formations, Tuto Photos. et le cours de Olivier Rocq .

J'ai commencé son cours débutant il y a deux mois, et je constate d'énormes progrès dans ma manière de cataloguer mes photos.

J'ai compris la puissance de Lightroom dans sa manière d'ordonner les photos, ainsi que les réglages essentiels.

Olivier Rocq sait nous mettre en confiance, il est très pédagogue, le cours est bien fait et on ne demande qu'à progresser.

Les fichiers PDF, les vidéos, ainsi que l'aide en ligne sont un plus que j'apprécie.

Je vous conseille donc ce cours qui est plus que complet. Et pourquoi pas ne pas continuer les cours intermédiaire et avancé de Lightroom Classic du même auteur  (Olivier Rocq).


Un exemple de post traitement

Raw est la désignation générique d'un type de fichier d'images numériques issues d’appareils photo numériques ou de scanners. Un fichier Raw contient les données brutes du capteur et les paramètres nécessaires à la transformation en fichier image visible sur écran. Le fichier est plus volumineux que celui au format JPEG, servant le plus souvent à la communication des images, mais il n'a pas subi de transformations irréversibles, ce qui permet de retravailler sans dommage.

Les données brutes dépendent du capteur photographique et des circuits associés. Chaque constructeur adapte le format de données au matériel qu'il produit. Il en existe plusieurs dizaines, articulés souvent autour du format TIFF/EP et, pour les métadonnées, d'EXIF.

Il ne faut pas oublier d'ou on vient. Lorsque j'habitais en Belgique, j'ai fréquenté un club de photo le Reflex Tienen Photografie et son président Carlo Declercq. Celui-ci a aussi un site que je vous conseille d'aller voir. merci encore à lui pour les conseils qu'il nous a donné.